Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Jaguar Mark 2, voiture routière de 1959
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La Jaguar Mark 2, cette ancienne voiture automobile Berline de luxe fut construite en 1959.
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Jaguar Mark 2, Années de production 1959 - 1967, Classe Berline de luxe, Moteur cylindrée 2 400/3 400/3 800 cm3
La Jaguar Mark 2 ou MK2 qui signifie série deux est un modèle automobile de Jaguar commercialisée de 1959 à 1967. Très prisée en compétition catégorie tourisme, la MK2 a notamment remporté le Tour de France automobile à quatre reprises consécutives entre les mains de Bernard Consten.
C'est également au volant de cette voiture qu'est décédé Jean Bruce, le créateur d'OSS 117 en 1963. "Plus belle voiture du monde", berline de série "la plus rapide du monde"… les qualificatifs ne manquent pas pour désigner la Mk2. Elle mettait le sport à portée de volant des pères de famille.
Petite berline Jaguar, elle trouvait sa place à côté des grandes MKVIII, MkIX, MkX et 420.
La Mk2 (c’est-à-dire type 2) a établi la réputation de Jaguar comme voiture de luxe rapide ou berline de sport que tous les autres constructeurs cherchaient à égaler.
Petite berline Jaguar, son nom s’écrit Mk2 et non MkII à la différence des grandes berlines MkVII, MkVIII, MkIX et MX qui s’écrivent en chiffres romains.
Les chiffres de production de la Mk2 et de ses dérivés
Mk2 3.8 1959-1967, 30 070 exemplaires.
Mk2 3.4 1959-1967, 28 660 exemplaires.
Mk2 2.4 1959-1967, 2 483 exemplaires.
340 1967-1968, 2 630 exemplaires.
240 1967-1969, 4 210 exemplaires.
Daimler V8/250 1962-1969, 17 620 exemplaires.
S-Type 3.4 1963-1968, 9 830 exemplaires.
S-Type 3.8 1963-1968, 15 070 exemplaires.
La Mk2, la production s’est étendue de 1959 à 1968 avec quelques évolutions mineures.
La Mk2 existait en trois cylindrées : 2.4, 3.4 et 3,8 litres, avec des transmissions manuelles, avec ou sans overdrive, ou automatiques, surtout pour les États-Unis
La version 2.4 était une honnête berline sans prétentions avec une certaine mollesse ce qui n’était plus le cas avec la 3.4. La 3.8 était la plus sportive, elle a couru, et gagné, de nombreux rallyes dont le Tour de France auto.
Elle s’est illustrée aussi dans le Monte-Carlo, mais sans le gagner. C’est la grosse MkVII en fin de carrière qui fut la seule Jaguar à remporter cette épreuve, malgré les participations des XK120, XK140, Mk2 et Type E.
La Mk2 a apporté quelques innovations techniques marquantes : des freins à disques aux quatre roues. Des surfaces vitrées agrandies avec des montants fins et chromés. Le moteur XK était le même pour les 3,4 et 3,8 litres hormis l'alésage.
La caisse et l'intérieur de tous les modèles Mk2 disposaient de la même finition. La voie arrière plus large que celle de la Mk1 améliorait la tenue de route de l’auto.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Jaguar ", Royaume Uni 1945 - ....
Un jeune amateur de motos du nom de Bill Lyons, qui n'avait pas tout à fait 21 ans à l'époque, rencontra William Walmsley, qui construisait un side-car plutôt élégant pour les motos remises en état.
Le jeune Lyons fit immédiatement preuve des deux caractéristiques qui allaient s'avérer ses plus grandes qualités au cours des 50 années suivantes. Son sens des affaires lui permit de dénicher judicieusement une bonne opportunité commerciale, et son sens du style lui fit apprécier l'élégance de ces créations normalement banales.
Il eut le sentiment qu'en canalisant ces activités selon des lignes commerciales et en augmentant la production pour la rendre rentable, le potentiel était énorme.
Quelques années plus tard, l'infatigable William Lyons saisit une nouvelle opportunité pour sa société de side-cars Swallow, en construisant une carrosserie spéciale pour l'Austin Seven. En 1927, il créa une carrosserie extrêmement élégante à deux places pour cette petite voiture.
Une commande de 500 unités de la part d'un grand revendeur londonien lui permit de donner un départ fulgurant à son entreprise. Suivirent des carrosseries Swallow pour la grande Morris Cowley, puis la Fiat 509A, la Swift Nine et la Big Nine standard.
William Lyons ne se contenta pas de construire des carrosseries. Ayant un sens aigu de la publicité, il planta le décor précédant l'introduction de la gamme des voiture SS pendant l'été de 1931.
En 1934, Lyons demanda à Harry Weslake, ingénieur-conseil de grande réputation, de l'aider à mettre sur pied un service d'ingénierie. Williams Heynes fut nommé ingénieur en chef. On ne tarda pas à voir le fruit remarquable de cette collaboration.
En 1935, le nom de Jaguar fit son apparition sur une nouvelle gamme de berlines et de voitures de sport car William Lyons considérait que le nom évoquait la grâce, l'élégance, la puissance et la fougue de ce félin.
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Lyons et Heynes, en collaboration avec Walter Hassan et Claude Bailey, travaillèrent sur un nouveau moteur qui devait établir la société comme un vecteur de force dans le monde. Ils choisirent un agencement de pointe avec arbre à cames en tête pour leur moteur six cylindres en ligne, qui développait initialement 162 ch.
Pour déclencher sa publicité, ils décidèrent de construire un nombre limité de voitures de sport, et Lyons ne disposa que de deux mois pour concevoir la carrosserie avant le salon automobile de Londres en 1948. La voiture, la XK120, fit un triomphe.
En 1950 fut dévoilée la berline Mark VII, une cinq places complète dotée du moteur XK. Elle était destinée au marché américain, et près de 30 millions de dollars de commandes furent enregistrées dans les mois qui suivirent son introduction.
En 1954, la XK120 fut remplacée par la XK140 qui s'était parée d'un moteur de 192 ch encore plus puissant. Vint ensuite la version MkII de la berline compacte avec des freins à disques, développés initialement pour les voitures Jaguar qui remportèrent le prix des 24 heures du Mans.
A partir de mai 1957, Jaguar monta des freins à disques sur ses XK150, et en 1958, une version roadster de la XK150 dotée de vitres descendantes fut présentée pour le marché des Etats-Unis.
En 1961, avec l'introduction de la Type E, Jaguar révolutionna la conception des voitures de sport. Vers la fin de 1961, la grosse berline MkX fit son entrée.De construction entièrement monocoque, elle partageait avec la Type E une suspension arrière indépendante et son moteur.
Sir William Lyons prit sa retraite en 1972, remettant les rênes de Jaguar à Lofty England. En plus d'être l'un des meilleurs concepteurs et l'un des hommes les plus inspirés de sa génération, Lyons était aussi un homme d'affaires remarquable. Jusqu'à sa mort en 1985, il ne cessa de s'intéresser de très près au destin de Jaguar.
En 1973, Jaguar lança une nouvelle version de la berline XJ : le XJ Coupé. La XJ-S qui lui était étroitement apparentée suivit en 1975. La version Cabriolet sortit en 1983. C'était la première Jaguar ouverte depuis la Type E. Elle céda le pas à la décapotable en 1988.
En 1983, un nouveau moteur 3.6 litres six cylindres développant 227 ch, l'AJ6, fut installé dans la XJ-S. En 1989, l'AJ6 3.6 litres fut amplifié jusqu'à 4 litres, et doté en option d'une transmission automatique à quatre rapports.
La société JaguarSport fut établie en 1988 pour produire et commercialiser les versions sportives des berlines Jaguar et des voitures de sport haute performance, notamment la XJ220 aux allures saisissantes.
En 1989, la société Jaguar aborda une ère entièrement nouvelle lorsque la société devint une filiale de Ford. La marque Jaguar réussit à préserver son identité, et au début des années quatre-vingt-dix, de nombreux développements inédits sensationnels intervinrent dans la gamme de produits Jaguar.
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